L’opération de désinformation lancée contre le Pape
François par le journal Pagina 12 et ses « journalistes objectifs »
n’ont pu se réaliser sans l’accord formel du gouvernement et en particulier, de
la Présidente argentine. Dès l’annonce du
résultat du conclave, les experts argentins
(journalistes-fonctionnaires, militants, organisations et associations
proches du gouvernement) reconnus pour la qualité de leurs manipulations et
propagande, utilisent la rumeur, les amalgames, pour diffamer et calomnier le
nouveau Souverain Pontife.
D'autres acteurs militants en France se sont associés à cette campagne de dénigrement. Ils se présentent sous le statut de journalistes, chercheurs, avocats, ou experts es Amérique Latine, représentants d'ONG des droits de l’homme, avec un seul objectif : affirmer qu'un mensonge est vérité absolue du moment qu’il est validé par leurs soins, quand bien même cette accusation serait extrêmement grave, non vérifiée et imaginaire. Faire du Saint-Père un coupable idéal pour satisfaire leur soif de vengeance, et servir l’idéologie qu’ils vénèrent, en dépit du fait qu’il soit innocent.
Mais qui sont ces agents de persécution, et quels sont les
réels objectifs de ce déploiement d’énergie et de moyens ? Les détracteurs du Pape François et le droit à la vérité
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